Vincent Lecours
C’est un climat de peur. Les universités dépendent largement des fonds fédéraux. Quand le gouvernement menace de couper les subventions, les administrations deviennent tétanisées. Mes collègues aux États-Unis me disent que les réponses de leur direction sont vagues et rassurantes en surface, mais qu’il ne se passe rien de concret. Je n’ai pas vu de mobilisations collectives. La peur domine…