Une réflexion à propos de “Découpages départementaux à l’UQAC et savoirs en partage”
Il s’agit d’un article très intéressant, rigoureux et pertinent. Il souligne plusieurs paramètres importants et soulève à la fois de nouvelles questions. Par exemple il ne tient ni compte des périodes ni des tailles des différents clusters. Le choix des ontologies est possiblement un certain biais… Mais une chose en ressort clairement, les domaines de recherche des chercheuses et chercheurs ont des frontières qui transcendent leur département d’appartenance ou encore les regroupements disciplinaires au sein des départements ont été pensé sur la base de critères autres que les domaines de recherche (comme par exemples sur l’offre de programmes, le nombre de membre du corps professoral (notamment pour équilibrer les départements) ou les similitudes de diplomation de premier cycle de ces derniers). Cet article révèle l’importance de l’interdisciplinarité voir l’intersectorialité dans les travaux aux cycles supérieurs de même que les possibilités de formuler une question de recherche à travers divers angles, disciplines et par de nombreuses méthodologies. Outre la nécessité administrative et structurelle de nos universités, quelle est la pertinence des cadres départementaux basés sur des regroupements disciplinaires factices si par nos programmations de recherche nous outrepassons ce strict cadre? Si l’on promeut et reconnait la valeur de l’intersectorialité pourquoi ne pas transiter vers des environnements favorables… Vraiment intéressant chers collègues.
Il s’agit d’un article très intéressant, rigoureux et pertinent. Il souligne plusieurs paramètres importants et soulève à la fois de nouvelles questions. Par exemple il ne tient ni compte des périodes ni des tailles des différents clusters. Le choix des ontologies est possiblement un certain biais… Mais une chose en ressort clairement, les domaines de recherche des chercheuses et chercheurs ont des frontières qui transcendent leur département d’appartenance ou encore les regroupements disciplinaires au sein des départements ont été pensé sur la base de critères autres que les domaines de recherche (comme par exemples sur l’offre de programmes, le nombre de membre du corps professoral (notamment pour équilibrer les départements) ou les similitudes de diplomation de premier cycle de ces derniers). Cet article révèle l’importance de l’interdisciplinarité voir l’intersectorialité dans les travaux aux cycles supérieurs de même que les possibilités de formuler une question de recherche à travers divers angles, disciplines et par de nombreuses méthodologies. Outre la nécessité administrative et structurelle de nos universités, quelle est la pertinence des cadres départementaux basés sur des regroupements disciplinaires factices si par nos programmations de recherche nous outrepassons ce strict cadre? Si l’on promeut et reconnait la valeur de l’intersectorialité pourquoi ne pas transiter vers des environnements favorables… Vraiment intéressant chers collègues.