Laureline Chiapello
Je crois qu’il est essentiel de considérer la fatigue d’une manière plus globale. J’ai l’impression qu’elle est devenue systémique, un phénomène presque inévitable de notre époque. En tant que chercheuse adoptant une perspective en sciences sociales et en philosophie, j’attribue cette fatigue, en grande partie, au capitalisme…